

Le cheval Castillonnais aussi appelé cheval du Biros a pu subsister grâce à un passionné des chevaux, Gabriel Lamarque, natif de l’Ariège. C’est cet homme qui a mis en valeur cette population chevaline unique et peu commune.
On peut trouver, dans les grottes ariégeoises des peintures rupestres représentant sans doute ces beaux chevaux couleurs de feu.
Au fil du temps, des croisements ont été fait, on sait notamment que les castillonnais portent en eux du sang oriental et ibérique, ce qui leur donne cet élégance et ce port de tête.
Les croisements avec des races lourdes, le départ de la population ariégeoise et la disparition des travaux de la terre, comme les labours, mais aussi les transports, l’armée… ce petit cheval, prince des montagnes était voué à disparaître totalement.
On remercie alors un petit groupe d’amis, qui dans les années 80 a su redonner vie à cette race ancienne et magnifique.
C’est en 1996 que la race castillonnaise est reconnue officiellement par le ministère de l’agriculture.
5 commentaires:
Whouuuuuahouuu.....Trop beau ce avant-aprés, j'adore, t'es trop forte, j'arrive pas à croire qu'il était comme sur la premiére photo....D'ailleurs en dirait que ses poils sont en coton....Le pauvre...
TRop chouette !! Bravo !
merci beaucoup beaucoup, c'est vrai qu'on dirait une boule de coton quand il était petit, mais il est tellement gentil, même maintenant, qu'il reste et restera une boule de coton... héhé !
Oui et une bonne grosse boule de coton ton prince, un peu collante même, c'est pas collant le coton pourtant, et ça mordille pas les vétement non plus le coton....Bizarre c'te bête...Hihi
ben en fait, c'est une espèce rare de coton, le "coton codoux collant" ça s'appelle comme ça ! héhé ! pour les mordillage (mot qui n'existe pas),ben dans ces gènes coton paternel ! héhé !
pour 4 ans il est drôlement charpenté!! superbe!
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