




Notre première balade tout seul, était mouvementé, mais extra !
Prince se conduisait très bien, mise à part quelques demi-tour au départ !
Il était un peu stressé, mais rien de bien méchant !
En route !
Petite caresse quand même !
Veut pas y aller ! héhé !
Petit portrait de la bête !
Voilà, magique tout simplement !
Le cheval Castillonnais aussi appelé cheval du Biros a pu subsister grâce à un passionné des chevaux, Gabriel Lamarque, natif de l’Ariège. C’est cet homme qui a mis en valeur cette population chevaline unique et peu commune.
On peut trouver, dans les grottes ariégeoises des peintures rupestres représentant sans doute ces beaux chevaux couleurs de feu.
Au fil du temps, des croisements ont été fait, on sait notamment que les castillonnais portent en eux du sang oriental et ibérique, ce qui leur donne cet élégance et ce port de tête.
Les croisements avec des races lourdes, le départ de la population ariégeoise et la disparition des travaux de la terre, comme les labours, mais aussi les transports, l’armée… ce petit cheval, prince des montagnes était voué à disparaître totalement.
On remercie alors un petit groupe d’amis, qui dans les années 80 a su redonner vie à cette race ancienne et magnifique.
C’est en 1996 que la race castillonnaise est reconnue officiellement par le ministère de l’agriculture.